Quelque part entre Gourbeyre et Orly Sud, les six membres du Dragon du Poitou déploient un son épais et puissant, « dubbé » en direct, toujours au sein d'un dispositif scénique immersif et ouvert. Jouant sur la temporalité et les intensités, Dragon du Poitou s’empare des musiques antillaises pour les structurer comme une pièce de Glenn Branca, l’humour en plus. Composé en grande partie de membres du collectif URSS,CF, DDP créé continuellement de nouvelles pièces, toujours dans l’urgence, plaçant l’expérimentation, le risque et la spontanéité au centre de leurs démarches