Reverend Deadeye

Garage-blues & Country-gospel

Pas de date à venir

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A propos

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Votre vie morne et triste s'illuminera enfin en ce jour céleste du samedi 19 septembre : nous célébrons le grand retour à Paris du Reverend Deadeye après 5 ans d'une vie de fermier intensive dans son Colorado natal (http://www.instagram.com/revdeadeye).
Ses deux derniers concerts, en 2009 et 2010 avaient déjà revigoré plus d'une centaine de badauds bénis par ses tubes de garage-blues et de country-gospel hérétiques. Il n'en sera donc pas autrement.

Le Révérend (autoproclamé) a grandi dans une réserve Navajo, de parents missionnaires pentecôtistes, et d'un père pasteur qui lui apprit la guitare et le fit jouer tout jeune lors des baptêmes et fêtes religieuses au sein de sa mission. Expérience d'où il tire sa ferveur. De là, et du whisky.
La légende dit qu'il aurait perdu son œil droit lors d'un rite initiatique. Pour prouver leur dévotion, les jeunes doivent se passer de la main à la main un putain de serpent à sonnettes, et celui-ci lui aurait croqué l'oeil et aurait annihilé, de ce fait, ses croyances et sa destinée.
Il n'y a aucune raison de ne pas croire ça.

Mais si vous êtes intéressés par la vérité, la voilà : ses concerts sont incroyables. Totalement fous et habités, vous vous mettrez à bouger frénétiquement comme un jeune chiot. Criant avec lui « Fuck The Devil ! », ou bien « Let's get drunk on Jesus ! » et autres poésies, jusqu'à votre étourdissement, vaincus par la puissance christique de ses riffs dégueulasses.
Il sera accompagné sur scène et à la batterie par Brother Al, son fidèle compagnon de route depuis des années.

Après deux grands albums remplis de hits (« Turn or Burn » en 2008, « The Trials and Tribulations of the Reverend Deadeye » en 2010), il sort en septembre un nouvel album « These Snakes Shall Cry Out » (chez Pygmy Mountain Music), qu'il a composé dans sa grange, bercé par les cris de ses poules et de ses chèvres.
Prometteur.

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