Le chant poignant et la pureté séraphique du Concerto de Berg magnifiés par Frank Peter Zimmermann.

Mis à contribution dans nombre de films, l’Adagio de Barber est la transcription par le compositeur du mouvement de son Quatuor à cordes de 1936. Sa simplicité, son pouvoir émotionnel, la qualité de son plain-chant médiéval en ont fait un favori des publics du monde entier. À son recueillement répond la déploration du Concerto de Berg, dédié à la mémoire de la fille d’Alma Mahler et de Walter Gropius, disparue prématurément. Puissance aussi avec la Neuvième Symphonie de Schubert, aux incomparables accents viennois.

Lieu : Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie