Si Brian May est passé du rock à l’astrophysique, Morvan Salez a fait l’inverse. Son groupe, Maya Reels, est le chaudron d’une alchimie pop affirmée, lyrique et bouillonnante. Une pincée de Bowie, un zeste de Bartok, des couleurs impressionnistes, des mélodies inspirées et ensorcelantes, des textes en anglais qui révèlent le monde en infra rock, un son comme le vent du grand large qui réveille l’infini en nous...