Rock

MaMA Festival - PASS 1 JOUR JEUDI

  • Jeudi 17/10/2019 à 18:00

PIGALLE-MONTMARTRE

. 75018 Paris

Paris 18e arrondissement

SncfGARE DE LAROCHE MIGENNESSncf

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À propos

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MaMA FESTIVAL 2019 - 16/17/18 OCT.

3 JOURS / 1 QUARTIER / 10 SALLES / + 100 CONCERTS

Aamourocean // Aziz Sahmaoui & University of Gnawa MA // Bobby Oroza FI // Calling Marian // Corps // Di#se // Elisa Jo // Lola Marsh IL // Lord Esperenza // Madison McFerrin US // Nelick // Oh Mu CH // Paul Seul // Pongo PT // Sein // Sentimental Rave // Silly Boy Blue // Tessa Dixson BE

Prochaine annonce le 13 juin // Annonce de la programmation complète avec salles et horaires : 1ère quinzaine de septembre

FESTIVAL URBAIN 100% PIGALLE
DEAMBULATION UNIQUE entre : La Cigale, La Boule Noire, La Machine du Moulin Rouge, Backstage By The Mill, Bus Palladium, Les Trois Baudets, Le Carmen, Le Phono Museum...

PASS (billet à échanger contre un bracelet) POUR CIRCULER DE SALLES EN SALLES*
ACCES A TOUTES LES SALLES DU FESTIVAL DANS LA LIMITE DES PLACES DISPONIBLES

PASS 1 JOUR > MISE EN VENTE LE 13 JUIN A L'ANNONCE DES PREMIERS NOMS PAR JOUR

LES BILLETS ACHETES SERONT A ÉCHANGER A LA BILLETTERIE CENTRALE CONTRE UN BRACELET (LE PASS, REMIS DE FACON INDIVIDUELLE) QUI DONNE ACCÈS A L'ENSEMBLE DES SALLES* DU FESTIVAL dans la limite de la capacité de chaque lieu.

BILLETTERIE CENTRALE
OUVERTE PENDANT LES 3 JOURS DU FESTIVAL : 17h00 > 00h00
Terre-Plein central du boulevard de Rochechouart au niveau du n98 - 75018 Paris
(entre Le Trianon et La Cigale)

Horaires, emplacement précis et fonctionnement soumis à modification - A vérifier au plus tard en septembre 2019 sur le site internet du festival : www.mamafestival.com

Les artistes

Imany

Après un 1er album "The Shape Of Broken Heart" (2011), vendu à plus de 180 000 exemplaires en France et autant à l’étranger, l’écriture et la composition de la musique du film «Sous Les Jupes des Filles » (1 million 4 d’entrées en salle), et une tournée internationale de plus de 370 dates à travers 3 continents, Imany sort son deuxième album en septembre 2016. Dans cette nouvelle aventure, Imany nous emmène toujours dans ses tranches de vie, sur les chemins parfois sinueux de son intimité, mais cette fois avec un peu plus d'ouverture sur le monde, et ses problématiques.
En ligne de mire, l’effort solitaire et commun que nous devons fournir pour préserver le monde d’aujourd’hui et construire celui de demain.

Le premier single de cet EP "There were tears", a été écrit avec en tête, Nelson Mandela, la nuit suivant l'annonce de sa mort
C’est une discussion fantasmée entre Nelson Mandela et la jeunesse d'aujourd'hui, celui ci leur ouvrant les portes de son expérience et de ses combats
C’est un appel à la mémoire collective, à la prise de conscience et à la justice

Dans la très cinématographique « No reasons no rhyme » elle évoque la rupture
Elle nous livre aussi deux titres acoustiques, "The rising tide " constate notre manque de conscience quant aux problèmes climatiques et « Hey Little sister " délivre une ode à l’émancipation et à l’acceptation de soi, un message pour toutes les jeunes femmes, qui comme elle, se sont cherchées un jour.

Hyacinthe

Pop hardcore et rap sensible, Hyacinthe n’en est plus à bousculer les genres, il a investi un espace musical qui lui est propre. Sa plus évidente qualité, c’est d’abord l’écriture, vive et écorchée. Ce premier album est un disque d’auteur, sans l’aspect formel que peut laisser entendre cette expression, mais avec les vertiges que peut provoquer sa plume lorsqu’elle se plante dans vos tripes ou décroche le cœur. Plonger dans ses textes équivaut à pénétrer ses pensées, à regarder le monde à travers ses pupilles, une immersion dont on sort rarement indemne. On éprouve les cicatrices d’une adolescence tumultueuse, la démission d’un père absent, les cycles infrangibles de ses angoisses et des sentiments fanés… Mais aussi bien sûr l’espoir, l’amour, et le besoin de s’enivrer, de se perdre dans la fête comme si elle était éternelle. En parlant de lui-même, et sans amais prétendre incarner une génération toute entière, il raconte les douleurs et les joies éphémères de la jeunesse de l’époque. « Quelque part dans la ville, les filles dansent sur le bar / je regarde, à travers la vitre, les corps dans le noir / qu’est-ce qu’on va faire de nos vies ? / du cash, des amours absurdes ? Chaque nuit, une vanité de plus… »

Xixa

Brian Lopez et Gabriel Sullivan sont deux des musiciens de Tucson les plus reconnaissables. Tous les deux sont membres du mythique Giant Sand, le groupe de Howe Gelb, et ont collaborés avec des artistes de tout bord – de Calexico a KT Tuntstall - en tant qu’arrangeurs, producteurs, et sidemen.

Il y a quatre ans, ils découvrent la Cumbia péruvienne et se mettent à explorer l’univers humide de cette musique aux guitares psychés. Apres quelques années passées a jouer les classiques de la Chicha, Gabe et Brian décident d’écrire leur propre morceaux - en mêlant leur expérience de musiciens indés et leur passion pour la cumbia psychédélique. Le résultat est une espèce de rock du désert avec un coeur latin et un gout pour l’expérimentation hallucinogène.

Un premier EP, Shift and Shadow, sorti cet automne, les fait connaître d’un nouveau public qui semble autant apprécier leur cumbia, que leur hommage aux Meat Puppets.

Leur premier album, Bloodline (sortie Février) évoque la magie baroque du désert et un certain mysticisme Mexicain tout en gardant un gout marqué pour les fêtes latines ou cumbia et mélodrame ont tout deux leur place. Le son est brut, mais les compositions souvent sophistiquées et baignée d’un brin de nostalgie pour les productions analogues des années 70.

Bloodline s’inscrit dans un nouveau courant d’artistes américains qui puisent leur inspiration et dans leur propre généalogie et dans une généalogie inventée. Les musiciens d’origine latine sont particulièrement fascinés par les racines sud-américaines, mais leur démarche n’est pas profondément différente de celle d’un Beirut ou de Vampire Weekend. Que ce soit la Chicha, la musique des Balkans ou la musique Africaine ces artistes s’inventent une nouvelle identité en empruntant des références venues d’ailleurs. Bloodline est un album fondateur. Le premier d’une longue lignée...

La Chica

C’est de Paris Belleville et le Venezuela, que naissent ses compositions, ses paroles et son style. À travers sa musique, La Chica réunit ces deux mondes en proposant un collage de textures sonores, empruntées à son héritage et à diverses influences modernes, tout en cassant les codes établis. C’est autour du piano et des claviers que s’est créé son univers, mélangeant habilement ses inspirations classiques, son amour pour Debussy avec la profondeur des nappes de synthés analogiques. Sans déguisements, elle transmet une émotion à l’état brut, entre pensées abstraites et introspection poétique.

Lola Marsh

Lola Marsh is a fresh folk-Pop duo whose music combines on-the-sleeve-lyrics and deep warm harmonies. After releasing only a home recorded demo, they gained immediate attraction due to the singers' dramatic presence. Described by KCRW as "…Clearly meant for the stage" following their unforgettable 2014 Primavera performance, the band signed with the leading label Anova Music and talent buyers came knocking. It wasn't long till the band dominated stages at big-named European festivals including this years' Primavera Sound, Pohoda, Exit & Life Festival to name only a few.

Nelick

A l’aise quand il s’agit de kicker comme de rapper sur les productions les plus actuelles, Nelick fait partie de cette génération de rappeurs à avoir pris avec malice le bon de la old et de la new school.
Des sonorités tantôt cloud, tantôt groovy, et une plume travaillée, lui permettent de se balader sur les rives d’un rap féroce et donjuanesque.

Du haut de ses 21 ans, Nelick est un diamant déjà poli, prêt à briller grâce à une lumière qui s’intensifie un peu plus à chacune de ses sorties.

Mauvais Oeil

Mauvais Oeil vous invite à son sabbat, 45 minutes d’incantations divines en arabe et en français. Le groupe développe ensemble un envoûtant univers musical dont le large spectre d’influences mêle rythmes orientaux à la coldwave et où se côtoient djinns et esprits lumineux.

Poté

Poté est un artiste anglais originaire de St Lucie aux Antilles. Amoureux de Calypso et de Dubstep anglais, il fait un démarrage sur la scène club en 2016 avec son track « Katz », qui grimpe instantanément en premiere place sur BBC Radio 1, et reçoit les soutiens de SBTRKT, Jamie XX et Sampha, pour ne citer qu’eux.
Poté collabore également au projet Africa Express, invité par Damon Albarn et Remi Kabaka, qui l’a amené à travailler avec des artistes africains tels que les rappeurs Kojey Radical, Chelou & Alxndr LDN.
Il sort son premier mini album « Sprial, my Love » cet été sur Deviation, le label du tastemaker et animateur radio Benji B et présentera le premier single, "Mortal".

Dewaere

DEWAERE est un groupe de noise punk français, originaire de Saint Brieuc et formé en 2017, avec à sa tête l’incroyable Maxwell Farrington, Julien Henry à la guitare, Marc Aumont à la basse & Hugues Le Corre à la batterie.
Le groupe enregistre un album à l'été 2018 qui sort sur les labels allemand Phantom records & français Bigôut records.
Si vous deviez vivre vos dernières heures en slip au milieu des décombres, flânant au bord d’une piscine miraculeusement intacte, "SLOT LOGIC" de DEWAERE serait la BO parfaite de votre court-métrage péri-mortem.
Entre guitares vinaigre et drums MG-42, les hits noise rock malades du groupe s’écoutent comme on s’apprête à lancer sa première grenade : le coeur battant, prêt à bondir.

Rare Akuma

Encore méconnu chez nous, Rare Akuma est un jeune Anversois de 21 ans à peine dont les instrumentaux viennent d'être repris par $uicideboy$. Il collabore régulièrement avec des producteurs US et dans des villes comme Paris ou Londres, les gens savent qui est ce nouveau venu - des millions d'écoutes spotify ne mentent pas... Prenez Slipknot, Kanye West et Childish Gambino, malaxez le tout dans le même studio et là, soudain, la musique de Rare Akuma éclate dans les haut-parleurs. En live, il est récemment monté sur scène avec $uicideboy$, il a fait l'aftershow de Flatbush Zombies et la première partie d’YG. L'été dernier, il a détruit DOUR 2019, WOOO HA ! 2019 et Fire is Gold 2019 Le rookie belge à suivre très attentivement en 2019 !!!

Sônge

Projet né de la rencontre entre la chanteuse Sud-Africaine Sisanda Myataza, basée depuis peu à Bristol (UK), Yoann Minkoff et Mael (Loeiz) Danion (respectivement guitare/choeurs et claviers/production du groupe City Kay) et le batteur, multi-instrumentiste Burkinabé Petit Piment qui a récemment posé ses valises en région Rennaise suite à une tournée de son groupe Baba Commandant.

A partir de l’été 2018, l’équipe s’est réunie à Rennes et à Bristol à plusieurs reprises pour mettre en commun les compositions de chacun et entremêler les différentes influences. Travaillant en parallèle les morceaux en home studio et en configuration live. Des couleurs singulières se sont rapidement dégagées de ces sessions, révélant une musique pop emprunte de soul, de transe et de psychédélisme afro. Une musique résolument organique parsemée d’éléments électroniques

Cette rencontre « internationale » entraîne également une variété linguistique : portées par la voix virtuose de Sisanda (soutenue par les choeurs des 3 musiciens) les chansons sont écrites en Anglais, Xhosa, Français ou encore Mooré.
Les mélanges d’influences et d’origines du groupe permettent d’explorer et de connecter différentes facettes des Black & White music modernes.

SONGØ est accompagné par Les Trans depuis Juin 2019 et s’est produit à l’UBU pour fêter les 40 ans du festival en ouverture d’Underground System.

Silly Boy Blue

Derrière Silly Boy Blue, il y a Ana Benabdelkarim, une jeune Nantaise aujourd’hui basée à Paris. Après avoir fait ses armes à 19 ans au sein du groupe Pégase en tant que chanteuse, claviériste et bassiste, Ana se consacre à l’écriture de ses propres chansons. Une chambre, un ordinateur et une carte son, une guitare, quelques synthés : Ana devient Silly Boy Blue.

Derrière Silly Boy Blue, il y a une fascination pour les icônes glam rock et la noirceur new wave des années 80. Il y a, évidemment, un hommage aux débuts de David Bowie, à ses errances pré-Ziggy Stardust, au personnage masculin/féminin qu’il commençait à devenir. Un alter ego pour oser sortir des cases.

Après plusieurs dates en 2017 (Pitchfork Avant Garde, Bars en Trans, Les Inrocks Festival) Silly Boy Blue poursuit sa mue, désormais prête à s’affirmer sous les yeux du public.

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SncfGARE DE LAROCHE MIGENNESSncf à 5349744m

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