Rock

Arto Lindsay

Arto Lindsay en concert à la Bellevilloise dimanche 8 octobre 2017.

  • Dimanche 08/10/2017 à 19:30

La Bellevilloise

21 rue Boyer 75020 Paris

Paris 20e arrondissement

MGambettaM 3bM 3

Voir la carteComment s'y rendre

Le demi est à 3,90 €

Modifier les tarifs

À propos

Publicité

Personnage énigmatique, facétieux et rare, Arto Lindsay aime la vie telle qu'elle est, philosophie de vie très brésilienne, fruit de son vécu. Infatigable fouineur et bidouilleur, il a pendant une carrière longue de 35 ans, multiplié les collaborations et les expériences.

Né en 1953 à Richmond (Virginie, USA), il part au Brésil à l'âge de trois ans avec ses parents missionnaires et y restera ses années d'enfance. J'y suis resté quelques années. Quand j'ai appris à jouer de la guitare et à chanter, ce sont les chanteurs brésiliens qui furent mes modèles. Arto s'est imprégné de toutes les musiques environnantes, élaborant une juste synthèse entre musique expérimentale et populaire.

Ses premières expériences de musicien restent très liées à l'effervescente scène new-yorkaise des années 77-78. Son premier groupe, DNA (avec Ikue Mori, Robin Crutchfield et Tim Wright) a profondément influencé la scène musicale locale voire internationale en contribuant au mouvement No Wave éphémère mais foisonnante scène du Lower East Side, sacralisée dans la compilation No New York de Brian Eno sortie en 1978.

Un parcours unique, de multiples collaborations avec les artistes les plus avant-gardistes. Il est enfin couronné en 2001 d'un Latin Grammy Awards (pour la production de l'album de Marisa Monte Memoria, Cronicas y Declaracion de Amor).

" Treize ans après Salt, Arto Lindsay a retrouvé le chemin des studios, sans perdre le fil de ses expérimentations funambules et schizophrènes entre Brooklyn et Bahia. Les tambours rituels du candomblé afro-brésilien ne sont pas immédiatement perceptibles, mais leurs pulsations, déconstruites et malmenées, fondent les strates souterraines de cet album, irradié de programmations éclatées, de guitares distordues et de mélodies hâves. Moins radical que par le passé, le tropicaliste américain ne cède complètement ni à sa passion bruitiste, ni à sa fibre sensuelle, mais le matou est joueur et confronte ses deux facettes titre après titre. Tantôt Arto ronronne, miaulant ses rengaines suaves et désinvoltes, tantôt Arto griffe, cordes acérées et claviers crachotants. Après Seu Pai, petite perle traversée par l'électro vaporeuse de Lucas Santtana, il court même après sa queue sur Arto vs. Arto dans un duel dissonant qui le laisse KO. Le tout est sophistiqué, un peu froid, mais se termine sur une note acoustique rêveuse, avec Pele de Perto, petite douceur chantée au piano et cosignée avec Marisa Monte." (Telerama)

Les artistes

S'y rendre

La Bellevilloise

21 rue Boyer 75020 Paris

MGambettaM 3bM 3 à 612m

MMénilmontantM 2 à 681m

MJourdainM 11 à 791m

Bus102genrvb26genrvb501genrvb60genrvb61genrvb64genrvb69genrvb96genrvb

Choisir un itinéraire

Signaler un changement

Renseignez votre e-mail pour que nous puissions vous répondre.

Retour