Maria Dolores avait juré de ne plus jamais chanter le tango… Alors est-ce l’écho du souvenir ou l’appel irrésistible du bandonéon qui a réveillé en elle cette musique qui coule dans ses veines ?

La diva madrilène révèle sa voix envoûtante avec l’Amapola Quartet qu’elle houspille allègrement, dans un concert qui alterne moments de grâce musicale et passages humoristiques où elle raconte SA véritable histoire du tango : décalée, drôlissime, mais aussi profondément humaine.

Ensemble, Maria Dolores et l’Amapola Quartet conversent dans cette langue si sensuelle qui n’appartient qu’au tango; d’où s’échappent soupirs et soubresauts, où fusionnent passion et peine. D’airs susurrés en milongas des exilés, on parcourt les trottoirs de Buenos Aires, entre la poésie lumineuse et les colères ardentes d’une femme qui fume en rêvant, d’un orchestre qui rêve en jouant…

« Un spectacle brillant, original, enlevé.» MEDIAPART

« Accompagnée par l’emballant Amapola Quartet, qu’elle houspille joyeusement, la divagante diva danse, chante et raconte le tango – son histoire du tango ! » LE CANARD ENCHAINE

« Une mante religieuse au kitsch latin. D’envoûtante à burlesque, tous les qualificatifs lui vont. » 24H WEEK-END (SUISSE)

« Du burlesque, du vrai, du bon, de celui qui ne plaint ni la folie ni l’énergie et qui vous emballe un public. » LE CLOU DANS LA PLANCHE

« Maria Dolores : un mythe. A la fois diva sensuelle et clown, la biche madrilène est généreuse à chaque instant. Et le public le lui rend bien. » OUEST FRANCE

PLACEMENT ASSIS - DEBOUT