Fruit de la rencontre de Yanowski avec le pianiste-arrangeur-compositeur Gustavo Beytelmann, "La Passe interdite" parle d’amour, de folie et d’amitié ; dit l’aventure, le voyage, mais aussi la désillusion.

Yeux surlignés de noir, feutre sur le crâne, Yanowski chante les « belles au regard d’absinthe », les « trains d’amour partis pour des destinations sans retour », la gestuelle fascinante du tango... Chacune de ses chansons est un roman en miniature, avec son ambiance, son histoire, son suspense et nous touche en plein cœur.
Alternant humour, poésie et dérision, le tour de chant dépeint un univers passionné où s’entremêlent des sonorités variées inspirées par la fougue des musiques de l’Est et du tango argentin, scandées par les arrangements lumineux de Beytelmann, les envolées trépidantes du violon et par la puissance vocale de Yanowski.