Luigi Grasso, nouvelle étoile du jazz, revendique son statut de sans domicile fixe, car d’Allemagne aux Caraïbes, de France en Turquie, d’Angleterre en Norvège, du Kazakhstan aux USA, il s’est laissé porter par le souffle puissant et tiède de son saxophone, la musique des langues et les mélodies douces ou tragiques de la vie. Il propose un embarquement immédiat pour sa Greenwich session, une invitation au voyage pour feuilleter les différentes étapes du parcours singulier d’un « Italien du monde». Incontournable ! Le répertoire, dont certaines sonorités renverront vers des références comme Tadd Dameron, Billy Strayhorn, Thelonious Monk, est porté en majorité par de compositions originales... Swing à l’extrême!