Matskat, c’est un antidépresseur sans les effets secondaires : que du bonheur !
Un chanteur musicien gentiment déjanté, l’esprit en ébullition et la voix nomade.

Son parcours : du violon classique, jazz, manouche... avec une médaille de conservatoire, des stages à foison avec Didier Lockwood, des concerts un peu partout, des bœufs à la pelle, dont un inoubliable avec Bobby McFerrin et Chick Corea !
Dans la foulée, il attaque la guitare, la mandoline, l'oud, puis il se met à chanter, explorer sa voix et à jouer la comédie. Son interprétation remarquée de «Don’t Worry, Be Happy» lors de l’émission « The Voice » (2013) le projette sous la douche - d’où il compose - au-devant de la scène nationale.
Son admiration pour Claude Nougaro, Alain Souchon, Henri Salvador, Sting, Bobby McFerrin, John Mayer ou Jamie Cullum et ses influences musicales tout azimut l’aiguillent vers un répertoire original et jubilatoire, aux textes ciselés, aux sons qui vous dynamisent les neurones et les guibolles.

La pêche et la banane dans une ambiance de chanson française pop-rock revitaminée, teintée de jazz et de musique du monde ! Matskat se produit alors régulièrement en concert, seul à l’affiche, accompagné de ses amis musiciens ou en première partie d’Olivia Ruiz, Renan Luce, Weepers Circus, Stephan Eicher, Thomas Dutronc, Pink Martini…

Et puis, c’est la rencontre avec Michel-Yves Kochmann (directeur musical et guitariste d’Alain Souchon) qui s’enthousiasme pour ce Marsupilami de la chanson et lui propose une belle collaboration : la réalisation de son premier album intitulé « Matskathérapie » (Equinoxe / Absilone Socadisc) – sortie officielle 10 novembre.