Auparavant avec son accordéon et maintenant avec sa guitare, la Marseillaise capte l’attention du public avec un set alliant tour à tour légèreté et tendresse, assurément sa marque de fabrique.
Elle égrène depuis plus de dix ans ses compos douces-amères, en solo.
« Les images d’Épinal sur l’accordéon m’exaspèrent. On y associe une certaine gouaille et un côté titi parisien auxquels il est difficile d’échapper »
Depuis 2 ans Magali Longchamp s’essaye à la guitare électrique et transpose ses anciennes compositions pour cette dernière. Depuis, elle compose uniquement pour la guitare.
Elle puise son inspiration dans un vaste panorama musical qui inclut Tom Waits (époque Frank’s Wild Years), PJ Harvey, qu’elle suit depuis ses débuts, ou encore Bashung ou plus récemment Cat Power pour ses influences blues et sombres.

Magali Longchamp a une voix profonde et des textes ciselés qui croquent le quotidien.
Un set qui se veut un passage entre la Magali d’hier et celle d’aujourd’hui, un répertoire qui vient également concrétiser le travail engagé depuis une dizaine d’années.