Barrueco nous entraîne avec une simplicité exultante au fil de textes bien troussés et de mélodies riches en couleurs.

Cet artiste engagé pour des causes qui rassemblent et relient, n’a de cesse de parler de la beauté du genre humain et des chances de fraternité ! Par son énergie vibrionnante et sa vitalité joyeuse. Barrueco a une surprenante présence scénique, une réelle maestria à la guitare et une aisance à la fois désinvolte, humoristique et bienveillante.

On pense au groupe Au P’tit bonheur (« J’veux du soleil »), à Sinsémilla (« Tout le bonheur du monde »), à Jason M’raz (« Life is wonderful ») ou au Fugain du Big Bazar.
Son spectacle s’adresse à cette “foule sentimentale” comme chantait Souchon, “qui a soif d’idéal, attirée par les étoiles”…

L’artiste a une telle prodigalité du cœur qu’il se montre assez convaincant, sur des thématiques sensibles, pour galvaniser une salle comble.
Barrueco fait partie de cette caste marginale des “doux rêveurs” que l’on croit voués à caresser de gentilles utopies alors qu’ils sont de ceux, indispensables et fondamentalement vivants, qui, à force de rêver plus haut, changent quelque chose de ce monde en révélant aux gens ce dont ils ont le plus besoin : apprendre à connaître ce qu’ils portent en eux de grand, d’inaltérable et de merveilleux.

Ce soir, 12 musiciens / chanteurs sur scène, dans une salle de spectacle flambant neuve, pour fêter l'arrivée d'un nouvel OPUS. Et pour une artiste , accoucher d'un nouveau disque est toujours affaire d'exception, une étape importante, qu'il aime fêter en public.
Cordes, percussions, guitare, piano à queue ... pour accueillir 13 nouvelles chansons à son répertoire, et reprendre quelques unes de ses meilleures, vos préférées si vous connaissez, des perles à découvrir si vous ne connaissez pas !