Mêlant intimement chanson française et pop-rock, Joseph d’Anvers s’est affirmé, en l’espace de dix ans et quatre albums, comme l’un des auteurs-compositeurs-interprètes les plus justes de sa génération.
Longtemps rapproché de ses prestigieux aînés (Bashung, Dominique A, Daniel D’arc…), Joseph a toujours détourné le propos, refusé l’évidence en s’exilant (à Rio et L.A. pour Les jours sauvages (2008)), en multipliant les collaborations inattendues pour un chanteur français (Mario Caldato Jr et Money Mark (Beastie Boys), Darrell Thorp (Radiohead, Beck…), Troy Von Balthazar, Day One…) ou en changeant de direction à chaque album.
2015 marque son grand retour avec « Les Matins Blancs » dans lequel on découvre quelques collaborations taillées sur mesure avec des complices tel que Dominique A pour « Tremble », Lescop pour « Marie » et Miossec pour « La Nuit je t’aime quand même ». Vivant, précis, efficace et entraînant, il réunit tous les ingrédients du disque réussi : Des textes intelligents, des mélodies solides et des arrangements classieux.
Ayant souvent été salué par la critique, Joseph d’Anvers l’est à nouveau avec ce nouvel opus que certains médias n’hésitent pas à considérer comme « un des plus beaux albums de l’année ».
L'artiste nous livre un set touchant, fort et généreux, mêlant avec justesse une folk éblouissante et un rock puissant.

« À la réalisation, Joseph d’Anvers. Résultat: Les Matins blancs, un album dans la pure tradition de la pop française, on ne peut plus classique (et classieux) en la matière. Il y est question d’amour(s), de nuit, de peau, d’organique » Le Point.fr