Rock

Elias Dris + Emily Jane White + Rey de House Of Wolves

Paris Music repart pour trois jours de concerts en mars 2018 !

  • Samedi 17/03/2018 à 20:00

FGO-Barbara

1 rue Fleury 75018 Paris

Salle de concert, salle de spectacle (300 places)

Paris 18e arrondissement

MLa ChapelleM 2

Voir la carteComment s'y rendre

10 €Préventes

Le demi est à 3,50 €

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À propos

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EMILY JANE WHITE
Du renouveau folk survenu vers le milieu des années 2000, Emily Jane White est incontestablement l’une des trois grandes prêtresses, avec Joanna Newsom et Alela Diane.
Mais si Emily Jane partage les mêmes origines ensoleillées californiennes que ses consœurs, sa musique se distingue par une noirceur et une tension magnétiques – un romantisme sombre hante ses chants de révolte et de rédemption, offrant à l’auditeur une catharsis aux accents gothiques et célestes.

En dix ans de carrière, Emily Jane White n’avait encore quasiment jamais interprété ses morceaux seule à la guitare sur scène. Un parfum d’inédit enveloppera donc ces dates printanières.

https://www.facebook.com/emilyjanewhiteofficial/

ELIAS DRIS
Elias Dris grandit en banlieue parisienne. Très jeune, il se passionne pour la scène ainsi que pour la musique rock et folk. Il se réfugie dans les disques de Neil Young, David Bowie, Joni Mitchell, Leonard Cohen ; la lecture, la poésie de Rimbaud, Walt Whitman, Allen Ginsberg et se jure de ne jamais devenir un Assis.

A 17 ans, Elias Dris quitte l'école pour entamer une formation d'acteur. Le metteur en scène Arny Berry lui confie un rôle dans son Macbeth, à la suite de quoi Elias parcourt la France pendant deux ans avec différentes compagnies théâtrales. Il enregistre en parallèle 3 EP's.

Pour retrouver les influences dont sa musique est pétrie, Elias quitte le continent pour la Californie, qui a vu naître les grandes figures de la contre-culture américaine. C'est à Los Angeles, le long de la Pacific Coast Highway qu'il écrit la plupart des chansons qui composeront Gold In The Ashes. Suivant une idée de longue date, il contacte Tom Menig (connu notamment pour ses collaborations avec sa fille : Alela Diane) et lui propose de travailler sur ce premier album.

Enthousiasmé par les démos, Tom Menig l'invite à enregistrer dans son studio qu'il a fait construire à Grass Valley, au nord de la Californie. Elias quitte alors Los Angeles, accomplit un pèlerinage sur les hauts lieux de la « Beat Generation », puis gagne Nevada City pour rejoindre le producteur américain. Après quelques jours d'enregistrement au milieu des montagnes, dans une petite ville qui n'a pas beaucoup changé depuis les temps héroïques de la conquête de l'ouest, Gold In The Ashes voit le jour.

Malgré son jeune âge (il a 20 ans lors de l'enregistrement), Elias Dris sort un premier album d’une étonnante plénitude ; une superbe collection de folk songs authentiques et douces, parfois mélancoliques, toujours chaleureuses. Une attachante nouvelle voix à suivre dans la famille des songwriters sensibles.

https://www.youtube.com/watch?v=UAbP5GX5b9A

HOUSE OF WOLVES
Sur ses trois albums House of Wolves a réussi à atteindre des sommets de grâce absolue.

Portée par une voix androgyne et d’inépuisables élans mélodiques (nourris par Chopin, Roy Orbison et les Beatles), la folk de cet Américain aux ascendances italiennes et mexicaines a un souffle hybride, entre americana et glam rock.

House of Wolves nous accompagne dans des abîmes de nostalgie, instaure un règne d’abandon voluptueux. C’est triste mais irrésistible ; les loups finiront toujours pas entrer dans la bergerie

https://www.youtube.com/watch?v=xuny3xf7VuU

Les artistes

House of Wolves

Sur ses trois albums House of Wolves a réussi à atteindre des sommets de grâce absolue.

Portée par une voix androgyne et d’inépuisables élans mélodiques (nourris par Chopin, Roy Orbison et les Beatles), la folk de cet Américain aux ascendances italiennes et mexicaines a un souffle hybride, entre americana et glam rock.

House of Wolves nous accompagne dans des abîmes de nostalgie, instaure un règne d’abandon voluptueux. C’est triste mais irrésistible ; les loups finiront toujours pas entrer dans la bergerie

Elias Dris

Elias Dris grandit en banlieue parisienne. Très jeune, il se passionne pour la scène ainsi que pour la musique rock et folk. Il se réfugie dans les disques de Neil Young, David Bowie, Joni Mitchell, Leonard Cohen ; la lecture, la poésie de Rimbaud, Walt Whitman, Allen Ginsberg et se jure de ne jamais devenir un Assis.

A 17 ans, Elias Dris quitte l'école pour entamer une formation d'acteur. Le metteur en scène Arny Berry lui confie un rôle dans son Macbeth, à la suite de quoi Elias parcourt la France pendant deux ans avec différentes compagnies théâtrales. Il enregistre en parallèle 3 EP's.

Pour retrouver les influences dont sa musique est pétrie, Elias quitte le continent pour la Californie, qui a vu naître les grandes figures de la contre-culture américaine. C'est à Los Angeles, le long de la Pacific Coast Highway qu'il écrit la plupart des chansons qui composeront Gold In The Ashes. Suivant une idée de longue date, il contacte Tom Menig (connu notamment pour ses collaborations avec sa fille : Alela Diane) et lui propose de travailler sur ce premier album.

Enthousiasmé par les démos, Tom Menig l'invite à enregistrer dans son studio qu'il a fait construire à Grass Valley, au nord de la Californie. Elias quitte alors Los Angeles, accomplit un pèlerinage sur les hauts lieux de la « Beat Generation », puis gagne Nevada City pour rejoindre le producteur américain. Après quelques jours d'enregistrement au milieu des montagnes, dans une petite ville qui n'a pas beaucoup changé depuis les temps héroïques de la conquête de l'ouest, Gold In The Ashes voit le jour.

Malgré son jeune âge (il a 20 ans lors de l'enregistrement), Elias Dris sort un premier album d’une étonnante plénitude ; une superbe collection de folk songs authentiques et douces, parfois mélancoliques, toujours chaleureuses. Une attachante nouvelle voix à suivre dans la famille des songwriters sensibles.

Emily Jane White

Du renouveau folk survenu vers le milieu des années 2000, Emily Jane White est incontestablement l’une des trois grandes prêtresses, avec Joanna Newsom et Alela Diane.
Mais si Emily Jane partage les mêmes origines ensoleillées californiennes que ses consœurs, sa musique se distingue par une noirceur et une tension magnétiques – un romantisme sombre hante ses chants de révolte et de rédemption, offrant à l’auditeur une catharsis aux accents gothiques et célestes.

En dix ans de carrière, Emily Jane White n’avait encore quasiment jamais interprété ses morceaux seule à la guitare sur scène. Un parfum d’inédit enveloppera donc ces dates printanières.

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FGO-Barbara

1 rue Fleury 75018 Paris

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