ElectroRock

Rainforest Festival

Concert pour enfants – RAINFOREST FESTIVAL vous propose les 2 et 3 juillet 2016 une nouvelle expérience où cohabitent Musique, Sport et Éco-responsabilité.

  • Samedi 02/07/2016 à 12:00

  • Dimanche 03/07/2016 à 12:00

Stade Equestre du Grand Parquet

Route d'Orléans 77300 Fontainebleau

Fontainebleau 77

TransGARE DE BOURRON MARLOTTE GREZTrans r

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À propos

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LE RAINFOREST FESTIVAL, C’EST :

1/ DE LA MUSIQUE : Omniprésente, éclectique et universelle.
La programmation se compose de plus de trente artistes connus et reconnus dans leur domaine pour animer trois scènes à ciel ouvert.

2/ DU SPORT : Relaxant, exaltant et amical.
Les nombreuses activités sportives proposées sur les étendues de sable blanc permettent de se dépenser en tissant des liens. Le bien-être et la détente complètent le programme avec des cours de pilate, de yoga et des d’ostéopathes à disposition.

3/ DU BONHEUR : Incontournable, humain et responsable.
Le village de partenaires et les ateliers créatifs proposés invitent à s’ouvrir sur le monde qui nous fait respirer tous les jours : une vision décomplexée et moderne de l’éco-responsabilité.

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Les artistes

Ibeyi

Les jumelles franco-cubaines de Ibeyi ont captivé les foules à travers le monde avec leur mélange unique de soul-pop, hip-hop, musiques électroniques et chants traditionnels Yorùbá.
Leur premier album a reçu un accueil critique dithyrambique et les a conduit à fouler la scène des plus grands festivals internationaux tels Coachella, jouer à Cuba pour le défilé croisière de Chanel en 2016/17, faire une apparition dans le film Lemonade de Beyoncé ou encore être la bande son de ‘Deep’ un ballet de la compagnie de dance Alvin Ailey chorégraphié par Maura Bigonzetti.
Après avoir fait il y a quelques semaines la couverture du prestigieux magazine US FADER, elles dévoilent aujourd’hui un nouveau titre « Away Away » et annoncent une tournée européenne.

Bon Voyage Organisation

Tout commence à Chicago, sur le label de Jamal Moss aka Hieroglyphic Being, Mathemathics Recording, réputé pour son bout gout et son intransigeance. Bon Voyage s’appelle encore Les Aéroplanes et sort un maxi (Impersonnel Naviguant) dédié aux latitudes orientales. Une fois renommé, on change de point de chute : Londres, pour deux EPs (Sorciers des Aéroports, L’Imposture). À chaque fois, le son s’étoffe, un instrument se rajoute, la feuille de route s’élargit avec l’horizon. Les dancefloors acquiescent d’un même geste. La preuve : on retrouve Bon Voyage sur la compilation des DJs incorruptibles du Berghain sortie à l’occasion des cinq ans des soirées Cocktail d’Amore. Comme une validation de la nouvelle dimension acquise par le groupe dans ses live nocturnes, purs moments d’incantations disco où le corps ne met pas longtemps à succomber. Le retour à Paris pour un nouveau disque préparé dans l’ombre annonce une avancée musicale dans la conquête « des seules terres vraiment lointaines qui vaillent la peine » pour sampler un chuchotement d’André Breton.

Pour cette nouvelle destination, un guitariste, un flutiste, et plusieurs chanteuses dont la popstar chinoise LiLijuan ont rejoint le groupe, qui devient alors un singulier orchestre sous le nom de Bon Voyage Organisation. Sans délaisser les rythmiques discoïdes sur fond d’imagerie aéronautique dont le groupe est familier, XĪNGYÈ est marqué par d’autres obsessions chères à Adrien Durand le leader de cet improbable équipe et nous invite dans une étrange odyssée. Si “La Traversée” propose une vision futuriste de la chine de Deng Xiao Ping, “Love Soup” penche vers le roman noir transposé du Los Angeles des années 50 aux comptoirs ELF d’Afrique Occidentale. Le disque propose un curieux équilibre entre une formule rythmique disco menée avec precision par le batteur Nicolas Ballay et une sorte de paysagisme sonore essayant de tirer une ligne droite entre Gold et Ornette Coleman ... Interrogé sur la tonalité très cinématique de sa musique, Durand cite régulièrement les liner notes de l’album Uncle Meat (1969) de Frank Zappa “Music for a film we haven't got enough money to finish yet”. Pas n’importe quel film, un mélange entre Blade Runner et La légion saute sur Kolwezi réalisé par Dario Argento.

La Fine Équipe

Samples soul, jazz, rock, reggae et beats accrocheurs sont au programme avec les quatre talents de La Fine Équipe, représentants du beatmaking à la française et dignes successeurs des mythiques J-Dilla et Madlib ! Et en live, ils agrémentent leur performance technique d’un nouveau show visuel.

Postaal

nouveau duo franco-britannique qui s'est fait connaitre par un génial rework de " En Vogue". Une électro aérienne qui laisse entrevoir de bien belles promesses !

Etienne de Crécy

Jamais deux sans trois. A la fin du siècle dernier (en 1996), dissimulé derrière divers pseudos et bien entouré (Air, Zdar, Alex Gopher), Etienne de Crécy imposait sa marque (jaune) en réalisant Superdiscount premier du nom, mariage parfait entre house, soul et electro et matrice de la fameuse touche française (© Grande-Bretagne). Aujourd’hui, après moult échappées solitaires couronnées de succès, Le Patron, toujours vert et flanqué des comparses Julien Delfaud et Gopher, revient avec ce troisième volet, une nouvelle fois guidé par l’hédonisme et l’euphorie. Alors, à Europavox, jonglant derrière son matériel analogique, le trio confirmera cet adage : avec De Crécy, on peut métamorphoser n’importe quel lieu en dancefloor géant.

DBFC

Le DBFC n’est pas un groupe, c’est un club.

Dombrance, producteur et remixeur dont le talent n’est déjà plus un secret, en est le capitaine. Il y a deux ans, il rencontre David Shaw et le courant passe aussi instantanément entre eux que chez des gamins. Les échanges sont riches et Dombrance accompagne vite David sur les live de David Shaw & The Beat.

« David était la pièce manquante du puzzle, qui a tout de suite compris l’essence du projet. » A savoir servir les morceaux eux-mêmes plutôt que ceux qui les composent. Guillaume Rossel à la batterie et Antoine Reininger à la basse, camarades de jeux depuis dix ans, complètent le carré magique. Dombrance et David mûrissent les morceaux en mêlant les guitares, claviers et textes, que le groupe entier s’approprie. L’ego reste aux vestiaires, l’équilibre est naturel.

Car tous partagent une sensibilité et un geste musical qui puisent autant dans la culture rock que dans celle du club. Trois des musiciens étant également producteurs de musique électronique, le DBFC brouille les pistes. Ce social club marie à merveille la pulsion charnelle du dancefloor à la capacité des chansons pop de raconter des histoires accessibles.

Bright Light chante la fête, Staying Home se blottit dans le blues des jours sans, Humdrum se rebelle contre la médiocrité et Leave My Room chasse l’angoisse des cauchemars. Tous les titres convoquent en contrepoint les voix intérieures qui remettent sans cesse en question nos sensations. Des émotions universelles qui contrastent parfois avec une musique entraînante, comme savait le faire la disco.

La formule, très organique, s’articule autour de la rythmique batterie - basse - guitare et secoue la nonchalance des clubs qui s’égareraient dans la perfection synthétique. Ici on transpire, on se lâche en bande goguenarde et on s’oublie sur des tourneries hypnotiques qui finissent par ensorceler. Le DBFC, vrai-faux fight club des pistes moites, parle assurément au ventre plutôt qu’à l’intellect.

Bien sûr, ça fleure bon les clubs voyous de l’Angleterre des 90s, mais pas seulement. Il y a de la musique noire américaine là-dedans, de la soul, du funk, un peu de l’école allemande techno et new wave, de la disco française... Ce n’est plus un club, c’est la coupe du monde, l’amour du beau jeu ! Le live en préparation promet d’ailleurs la libération de toute sa joie débridée. Si vous vous demandez encore à quoi la musique de DBFC vous fait penser, cessez de cogiter, rejoignez plutôt le club, dansez comme des diables et faites en sorte qu’elle vous ressemble !

DBFC
« Leave My Room » - EP
Sortie : 20 octobre 2014 (vinyle / digital)
Label : Her Majesty’s Ship
Distribution : LELP / IDOL / La Baleine
Catalogue : HMS014

Marcelo Cura

Marcelo Guelfenbein Aka Marcelo Cura est né en Australie en 1983, d'un père peintre chilien et d'une mère styliste allemande. Les aléas de la vie d’artiste de ses parents l’ont conduit à voyager dés son plus jeune âge, habitant Milan, puis Barcelone, pour finalement s’établir à Paris.
Influencé depuis toujours par la culture Hiphop, c'est lors d’un voyage à Ibiza qu'il découvre la house music.
En 2002, installé à Paris, il s'initie rapidement à la composition musicale pour finalement entamer des études d'ingénieur du son. Il travaille ainsi sur différents projets audiovisuels pour gagner sa vie, mais compose sa musique en parallèle et se produit comme DJ dans des lieux tels que le Rex, le Showcase , le Batofar, le Queen… Déjà ses productions reconnues et ses talents de DJ’s lui permettent d’exporter sa musique. Il découvre ainsi la Tunisie, l’Israël, l’Italie, l’Angleterre et l'Allemagne aux platines de club reconnus.
En 2011, Marcelo, dont la musique semble inspirée des multiples voyages et rencontres qu’il a pu faire, est approché par plusieurs labels prometteurs de la scène française : citons notamment Coton Tige, CrazyJack, et French Kitchen. Jouant sur leurs évènements il se produit ainsi aux cotés d'artistes tels Laurent Garnier, Sven Vath, Joseph Capriati, Kollektiv Turmstrasse, Paul Ritch, Heartthrob, Gaiser, Shlomi Aber, Guti, Ilario Alicante, Andrea Oliva, Karotte… Sa rencontre avec l’équipe fleurissante du label “French Kitchen” et ses succés répétés aux platines de leur très célèbre soirée Cocobeach, lui permettent d’intégrer l’agence en 2013.
Producteur insatiable, il a récemment signé différents EPs sur les labels Trapez Ltd, D-Floor, Catwash, Baile Musik,Tip Tap, French Kitchen, Monique Spéciale, Coton Tige, Expectancy, Equilibrium Lab, Earlydub ... Ses tracks “The Baze”,"Keep On Goin"et "That Shit" playlistés par Marco Carola durant toute sa saison 2013/2014 à l’occasion des soirées “Music On” n’aura fait qu’affirmer son futur prometteur. Notre cher Marcelo n’a pas fini de faire parler de lui.

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TransGARE DE BOURRON MARLOTTE GREZTrans r à 5858m

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